Nombre total de pages vues

Messages les plus consultés

vendredi 19 février 2010

Les Sonates de Domenico Scarlatti sur le Tiorbino par M Dupouy


Le claveciniste Mathieu Dupouy a relevé un beau défit, celui d'enregistrer pour la première fois un rare clavecin Napolitain à deux claviers et trois jeux de cordes dont un uniquement en boyau . Ce clavecin construit probablement vers 1710 à Naples est imposant avec son meuble baroque et ses deux claviers . Le diapason est à 440 hertz. L' enregistrement a eu lieu à Provins dans l'eglise monumentale de St Quiriace . Le disque est à paraitre chez le label Hérisson :

http://www.label-herisson.com/Site/Sonates.html

Sur la page du label Hérisson vous pouvez en avant première écouter un extrait de la Sonate K 145 .

mercredi 10 février 2010

Le voyage à Majorque approche!



Bientôt un grand pianino de 1838 quittera Paris pour Majorque et traversera la mer pour rejoindre le port de Palma, puis Valldemosa ! Le 1 er MARS 2010 dans la cellule n° 4, là même ou F Chopin termina d'écrire les Préludes sur son pianino Pleyel de 6 octaves et une quarte, Aya Okuyama exécutera en première mondiale les Préludes sur le même modèle de pianino Pleyel . Rare instrument bicorde donnant un son chaud et voilé, proche de la harpe lorsque l'on joue avec l'unacorda.

jeudi 4 février 2010

mercredi 3 février 2010

Une réflexion sur les pianos romantiques.

Merci à Ziad Kreidy!

"
Les deux superbes pianinos que j’ai joués à l’atelier d’Olivier Fadini permettent de comprendre l’esthétique instrumentale de Chopin et de ses contemporains. En les jouant, et même de manière neutre, on restitue sans effort particulier l’équilibre des registres de l’époque. Les innombrables pédales longues indiquées précisément par Chopin, Robert et Clara Schumann s’y réalisent avec une étonnante facilité. Cela n’a rien à voir avec les demi-pédales ou la pédale constamment changée, exigées par les plus grands maitres de notre époque, tout une esthétique dépendant de la standardisation du piano moderne. Les effets pianistiques des années 1830 se perdent sur le piano moderne, quelle que soit sa marque. On comprend à quel point l’écriture de Chopin est liée au son de son époque. Tout piano plus puissant, avec une résonance trop longue, déforme ou anéantit ces particularités coloristiques romantiques. Les fortissimos notés par Chopin dans les registres médium et aigu ne sont pas très puissants. Le rapport de puissance entre les deux mains est aussi très différent. Pour que la main droite sonne fortement, elle a besoin du soutien de la main gauche, qui joue a peu près dans la même nuance. Merci Olivier

www.ziadkreidy.com
www.myspace.com/ziadkreidy
http://www.facebook.com/pages/Ziad-Kreidy/245646874221
Livre/Book www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=28398

"