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dimanche 28 décembre 2008

l'aria des Goldberg par Martin Robidoux.

L'unacorda pour l'aria sur un pianino de 1837 par Martin Robidoux.

vendredi 19 décembre 2008

le livre qu'il faut lire et relire !!


Les ouvrages de JJ Eigeldinger sont de la plus grande importance si l'on veut découvrir le véritable univers de F Chopin !  A lire aussi Chopin vu par ses éléves ed Fayard.

vers le dernier des pianinos Bicorde Pleyel N°6521.

  1.  Etat du sommier .


Le Bicentenaire de la naissance 1810/2010 de Frédéric Chopin s'approche alors  le moment est venu de lui restituer  les seuls  pianos qu'il a connu et aimé ! Voici  la préparation d'un Pianino de Pleyel en Acajou de Six octaves et une quarte Do sol,construit à Paris en 1838 portant le numéro 6521 .Le clavier est signé Legrand tout comme celui envoyé à F. Chopin à Majorque durant l'hiver 1839 portant le numéro 6668!  Sur cet instrument reçu à Majorque  avec sa clef d'accord et son siège en acajou garni de soie rouge  F . Chopin continua à composer les  24 Préludes opus 28 dédiés à son ami Camille Pleyel .  Depuis la disparition d'Ignaz  Pleyel en 1831 Camille dirige avec ses associés dont F.G Kalkbrenner  (1784-1849 pianiste et auteur d'une célèbre Méthode de piano) la fabrique de harpe et piano situé rue Rochechouart dans le 9 ième art de Paris . 
Le Pianino modèle phare de la maison Pleyel  est proposé à la vente  dès Juillet 1831  ( il est  inspiré directement par le Piccolo ,bicorde de R. Wornum(1780-1852)  facteur de pianos à  Londres ) subit plusieurs transformations radicales jusqu'à l'apparition d'une troisième corde dans les aigues.   
F.Chopin arrive à Paris en 1831 et habite au 27  Boulevard Poissonnière,tout prés de la rue Cadet , là ou se trouve aussi le salon Pleyel et ou le compositeur donnera son premier récital .

Pianino numéro 6521 
Certainement mal entreposé ce pianino construit en 1838,est arrivé avec le sommier décollé.
La premiére étape va consister à remettre cette pièce maitresse en place . photos/

jeudi 11 décembre 2008

R Schumann sur le pianino Pleyel de 1837 par J Sanchez

La douceur et le timbre chaud d'un modéle de pianino de 1837 avec les marteaux regarnis en peau chamoisée.

dimanche 7 décembre 2008

de B Cristofori à C Pleyel.


Voici côte à côte un marteau (à droite) de Bartolomeo Cristofori et à gauche un marteau d'un Pianino de Pleyel construit en 1834.On peut remarquer l'évidente similitude du principe !
Les manches des marteaux sont en Cédre( bois souple et flexible) et le centre est évidé ce qui contribue à la résonance au moment de la frappe . Vers 1836 C Pleyel abandonne les marteaux évidés . Cependant ils continueront à être bien garnis de plusieurs couches de peaux ,pour un toucher moelleux et un timbre chaleureux.