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dimanche 23 octobre 2016

Chopin avec un Pleyel de 1839.

https://www.youtube.com/watch?v=Q3rl9e4yG_0

Un Pianino pour Mr Chopin

http://www.musicologie.org/15/la_decouverte_d_un_piano_pleyel_joue_par_chopin.html

Un Pianino en Concert .



Le Pianino est aussi un instrument de Concert . De par son timbre pur il est une véritable source d'équilibre dans la composition musicale . Son volume sonore est égal à la voix et son timbre  bien choisi, avec des garnitures de marteau très souples en peaux de Cerf épaisses. Le pianiste s'en sert comme d'un orchestre pour accompagner la chanteuse. Le Bel Canto à Paris avec Bellini, Rossini ...
avait trouvé son accompagnateur : le Pianino !

dimanche 2 octobre 2016

Concert avec un Pianino .


Voici un beau document indiquant que dans la période Romantique on utilisait bien volontier le PIANINO !  Tous les grands compositeurs vivant à Paris avaient un Pianino  ,  de V Bellini, G Rossini, ... Ici peut être Mlle Pauline Viardot ?  Après observation il semble que cette salle soit la mythique Salle de l'ancien  Conservatoire de  Paris !  Tous les grands artistes y ont joué ainsi que  F Chopin . ..
Le pianino est un instrument important qui supporte le timbre de la voix en une période  ( Le Bel Canto ) ou on évitait d'hurler et  les Pleyel avaient des sons doux , mélodieux propices aux charmes des plus belles voix .
  Nous sommes convaincu d'être au début de la redécouverte d'un nouveau "langage" propre à Pleyel qui va éclairer avec douceur et élégance l'oeuvre entière de F Chopin et des autres compositeurs.

La découverte des FEUTRES en Poils de Lapin qui garnissaient les marteaux des Pleyel dès les années 1830 (Pleyel  à  Queue  N° 5004 de 1836 conservé dans la Collection FREDERICK aux USA Massassuchet.) indique une volonté évidente de la part du facteur de vouloir obtenir un timbre "doux et moelleux". Cette précieuse matière était appliquée sur la dernière couche de peau , sans aucune tension ( ceci à l'opposé des marteaux modernes). Les sous couches de peaux étaient bien tendues ainsi nous pouvions avoir suivant l'intensité de la frappe un fff et un ppp cohérent . En pressant vigoureusement sur le clavier le noyau plus dur du marteau venait comme traverser le tendre feutre gris ou blanc parfois pour donner un" forte" puis lorsque l'artiste voulait déclamer tranquillement sans forcer ,  il jouait sur le bout de la pulpe des doigts en caressant le clavier ( comme l'écrit H Berlioz en voyant F Chopin  jouer ! ) par la même le feutre gris épais de 5 mm  tendre et léger entrait en action avec le pouvoir de chuchoter aux oreilles les plus sensibles ...