Très intéressante analyse lue dans le Temps de Genève: « Je ne connais pratiquement aucun enregistrement sur Pleyel qui soit satisfaisant. Il faut s’y plonger par conviction. On n’est pas du tout au bout du processus. C’est un commencement.»
Il est vrai qu'entre les mauvais pianos criards et les pianistes qui pressent trop fort le clavier (au lieu de chanter ) nous ne sommes qu'au début du "processus" de la redécouverte de ces exceptionnels pianos de Pleyel . La prise de son aussi est de la plus grande importance !
Très souvent les prises de son sont mauvaises et par là dénaturent l'esthétique même de l 'instrument...
samedi 3 avril 2010
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