Gioacchino ROSSINI (1792-1868). L.A.S., Passy de Paris 1er août 1865, à Auguste Wolff ; 1 page in-4.
« Je ne peux pas vous dire combien j’ai été contrarié de ne pas être à Passy lorsque vous vous êtes donné la peine de venir me voir, j’aurois été heureux de bénir le nouveau-né et de m’assurer que la mère l’enfant et le Caro Papà étoient tous en bonne santé. Rubinstein a joué admirablement chez moi samedi dernier, notre Gladiateur a enfoncé sous sa pressante exécution une touche de mon cher pianino, je vous prie de m’envoyer mon acordeur ordinaire réparateur afin que mes pianistes de samedi prochain puissent se faire entendre »...